Sacré bordel que l’Hyperstesia de Gasch

Désolé de commencer avec ce titre un peu vulgaire… mais que dire d’autre ?! Avec son dernier EP, Hyperstesia, l’artiste mexicain que l’on connaît sous le nom de Gasch nous immerge dans… dans… dans un grand bordel sonore et mexicain ! Un grand bordel où le reggaeton et le dembow s’immergent dans un bain d’hyperpop, où les vapeurs électroniques submerge les rythmes de salsas bien particulières, ou des pointes d’afrobeat viennent frayer avec de la bossa nova, ou du rap et du hip-hop venus d’ailleurs remonte les cotes mexicaines.

Sur les quelque sept titres de cet EP, Gasch développe en même temps que son univers à la fois onirique et résolument moderne, une nouvelle vision des musiques mexicaines contemporaines, une nouvelle vision des musiques pop latines, une nouvelle vision de sa mexicanité ! Le tout à grand renfort de beats, de voix, et de mélodies, à grand renfort de basses saccadées, de guitares planantes, et de synthés survoltés… survoltés et aériens !

Et, pour ce faire, il a su s’entourer et bien s’entourer ! De Amanda Alafita et Blue Saint Pablo qui viennent danser une curieuse salsa sur « No Sé Bailar » aux bouffées de cool de Coyote y Medio et et Azul Analoga sur « Make It Real », en passant par le flow du rappeur coréen David Hong et la guitare de Noai Moo sur « Posh Kid 2.9 », il n’y a pas un titre de cet Hyperstesia qui ne fait la part belle à des feat en tout genre, et de tout horizon.

Mais quand même… quel sacré bordel que l’Hyperstesia de Gasch !

Gasch – Hyperstesia :

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