Le PLDG réveille le French Urban Bantu

S’il est vrai que d’habitude nous nous mettons un point d’honneur à ne pas céder aux sirènes du copier-coller, et à ne pas reprendre tel quel les formules des dossiers de presse des artistes dont on parle dans ces pages, nous allons tout de même faire une entorse à notre règle pour ce post sur le duo français PLDG et leur dernier titre « French Urban Bantu ». Donc allons-y… comment on fait déjà le copier-coller… ctrl C et… ok, on y va : « À la croisée de la culture hip-hop américaine, de l’héritage Bantu d’Afrique centrale, et de l’industrie fauchée de Maubeuge… », voilà comment s’introduit le duo lillois aux racines congolaises PLDG. Ceci étant dit, on se sent obligé de préciser, fauché peut-être, mais pas en manque d’idée !

Sur « French Urban Bantu », FUB pour les intimes, le duo composé par Al20 & Mystraw, rejoint sur ce titre par Forbon N’Zaki et Leila Kama, nous montre qu’il a des références et les bonnes ! Ils nous font faire le tour de Harlem, avec Miles Davis et John Coltrane, ils citent aussi bien le Cosby Show que Cobain, avant de s’envoler pour le Nord Kivu pour reprendre le costume de « French Urban Bantu ». De la rumba en entrée, des claviers smooth, un sax qui laisse planer un gimmick d’ethiojazzz, des mots qui se détachent de la grisaille de Lille et Maubeuge pour nous faire rêver de Kin et de Brazza… il n’y a pas à dire, comme eux-mêmes le disent pour clore un couplet, noir ce n’est pas leur métier, et on ne peut que les rejoindre sur ce point, leur métier c’est musicien, à n’en pas douter.

PLDG – « French Urban Bantu » :

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