Alouqua Lilith : Curetaje nous inonde de son grindcore ultraviolent

Il n’a pas fallu longtemps aux membres du groupe équatorien Curetaje pour comprendre que fasse à la mocheté du monde ils leur fallait de toute urgence un exutoire. Et en tant qu’amateurs de musique que l’on peut sans mal qualifier d’extrême, c’est dans le grindcore, c’est dans le crust punk, c’est dans le death metal, c’est dans le hardcore qu’ils ont trouvé leur réconfort ! Et si le groupe existe depuis 2012, il enchaine les parutions ces jours-ci, après avoir fait danser le diable sur un punk en 2021 avec El Diablo baila Punk!, le groupe revient avec un nouvel EP qui ne tarit pas de violence, Alouqua Lilith.

Sur ce nouvel opus, le groupe originaire de la ville de Guayaquil en Équateur veut explorer la dualité du visage de la femme dans le discours religieux, une dualité qui les emmène jusqu’à la confrontation très binaire entre le paradis et l’enfer… avant de retomber dans la zone grise de notre monde, ou ce qui est beau ne l’est pas forcément et idem à l’autre extrémité. Une exploration guidée par le fracas des doubles pédales, par des guitares tranchantes, par des rugissements gutturaux dont on peut peiner à distinguer si leur origine est humaine ou animale… Oui… c’est ça, avec Alouqua Lilith de Curetaje préparez vous à vous prendre une bonne dose de violence, d’ultraviolence dans les oreilles, et à vous faire inonder par un bon mélange de grindcore et death metal sans concession !

Curetaje – Alouqua Lilith :

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