Gil Felix laisse son Ubalafon glisser sur un air d’afropop

C’est dans les années 80 à Paris que le musicien brésilien Gil Felix, en ballade dans la capitale française, est tombé amoureux, amoureux de l’afropop ! Et depuis lors il laisse sa musique parcourir les mers passant d’un continent à un autre, passant d’une scène à une autre, d’un studio à un autre !

Inspiré aussi bien par un autre célèbre Gil, Gilberto Gil, que par l’artiste malien Salif Keita, ou Bob Marley, le musicien brésilien s’emploie depuis à être un point de jonction des cultures, et à nourrir son berceau musical brésilien, là où s’agite samba et bossa nova, de vapeurs mandingues séculaires, de chauds vents caribéens, et autres courants africains en provenance de l’ouest comme de l’est ou du centre. Sa musique fait, avec beaucoup de grâce et d’équilibre, il faut le dire, d’élégants sauts et grands écarts entre les cultures. Bon, faut dire que sa voix satinée glisse à merveille sur les rythmes et les mélodies, et enrobe avec soin et avec poésie ses récits simples qui nous parlent de l’humanité et de ses racines africaines.

Il nous fait d’ailleurs une très belle démonstration de son savoir-faire sur son dernier album, son septième, Ubalafon (que nous vous annoncions déjà ici), un hommage à l’instrument ancestral ouest-africain. Un album enregistré entre trois villes, sur trois continents, entre Salvador de Bahia, New York et Stockholm, et que vous pouvez retrouver sans plus attendre chez Mills Records.

Gil Felix – Ubalafon :

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