Atlas Maior évolue entre jazz de globe-trotter et profondeurs Hadal

Atlas Maior, le groupe américain mené de main de maitre par Joshua Thomson au saxophone, et Josh Peters au luth, est de retour pour de nouvelles aventures… profondes ! Et pour cause avec son nouvel EP le groupe nous emmène flirter dans les profondeurs du jazz, jusqu’à un niveau abyssal, pour ne pas dire hadal, ah, tiens, Hadal, c’est justement le nom de ce nouvel EP à découvrir sans plus tarder !

Des cuivres stridents qui crient, qui tourbillonnent, écument, fendent la brume et l’horizon, s’apaisent un moment le temps de laisser transparaître les vibrations tranquilles d’un oud, avant de virevolter autour d’une cadence tribale venue du golfe arabique… Des cymbales clinquantes, claquantes, vibrantes, qui viennent taquiner la surface des eaux, ondulation tranquille qui devient groove, un groove profond qui se laisse pousser par le souffle grave du saxophone… Les rythmes fantomatiques d’une samba essayent de marcher dans des pas arabes, et les maqams orientaux de s’enrouler autour du souvenir lointain d’un highlife ghanéen…

Oui, les influences sont variées sur ce nouvel EP d’Atlas Maior, variées, mais puissantes, menées d’une main de maître jusqu’au bout du voyage, un voyage oriental, expérimental aussi, mais toujours dans l’esprit du jazz ! Alors n’hésitez plus embarquez, non, plongez dans les profondeurs palpitantes de cet Hadal, de ce nouvel EP d’Atlas Maior !

Atlas Maior – Hadal :

Si vous avez apprécié le contenu de cet article sur « Hadal » le dernier EP du groupe Atlas Maior, n’hésitez pas à visiter notre page Facebook et a y réagir, et pourquoi pas même nous encourager d’une petite mention « j’aime ».

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.