Tourbillon méditatif et trance tropicale avec Poranguí

À part rappeler que nul n’est parfait, l’on ne fera pas plus de commentaires sur la pochette de l’album qui nous intéresse aujourd’hui c’est-à-dire le disque éponyme de l’artiste brésilien américain Poranguí, qui vient de paraitre chez Sol Création.

Cet avant-propos étant fait sur cette très moche pochette… ah oui, on avait dit qu’on en parlait plus ! Intéressons-nous maintenant à la musique. On est, sur ce petit disque de 7 titres, à mi-chemin entre le truc de méditation pour hippies new age — du genre qui aiment à se perdre entre le bourdonnement des didgeridoos australiens, le doux écoulement des bâtons de pluies chamaniques, et les vibrations de guimbardes encore imprégnées de mescaline — et de la trance de raveurs qui s’est perdus dans les forêts environnantes ; le tout parsemé de vocalises en tout genre !

En fait, et toute mesure gardée bien sûr, on pourrait comparer le poly-instrumentiste Poranguí, à un genre de Dhafer Youssef (oui, rappelons-le encore une fois, toute mesure gardée !), qui au lieu d’explorer les chemins du soufisme, se perdrait quelques parts entre les cultures brésiliennes et mexicaines de ces parents, et les mysticismes d’Asie.

Poranguí – Poranguí :

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