Voilà un disque qui devrait plaire aux chantres de la créolisation et de la tendresse, aux amateurs de love et de rumba, aux passionnés de fusions et de RnB ! La Love Machine du chanteur congolais Ya Levis est en plein état de marche et laisse courir le murmure de ses tendres vibrations sur les hanches et les reins de tous ceux qui sont prêts à accepter l’amour en leur sein !
Grosse machine à tube et à love ce nouveau disque qui est en fait la réunion de deux EP, dont la première partie était sortie en septembre dernier, est une parfaite expression de ce que peut donner un artiste qui est à cheval entre deux cultures. Un artiste capable de faire autant de place dans ses oreilles à Craig David qu’à King Kester Emeneya (… bon peut-être un peu plus pour King Kester Emeneya), capable d’onduler entre la douceur de la rumba et celle du RnB, de chanter l’amour en français comme en lingala, de se faire sa place sur les scènes d’Afrique Centrale, comme sur celle d’Europe francophone.
Sur le premier volume de la Love Machine, on découvrait des hits comme « Ne doute pas » et « Sugar Daddy », et des feats avec la rappeuse nigériane Teni et le célèbre korafola malien Sidiki Diabaté. Aujourd’hui, avec la sortie de la deuxième partie de la machine, on plonge dans les tendres grooves de « Commandante » ou de « Body » et l’on croise la voix du chanteur ghanéen King Promise !
Ya Levis – Love Machine :
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