Skinny Pelembe brille avec Hardly the Same Snake

Peut-être le même serpent, mais pas exactement la même musique, et une couleuvre plutôt douce à avaler ! L’artiste britannique-sud-africain Skinny Pelembe, Doya Beardmore de son vrai nom, s’apprête à faire paraître, à la fin de ce mois, et chez Partisan Records s’il vous plaît, un second album, Hardly the Same Snake, qui selon nous surclasse largement son premier Dreaming is Dead Now.

Bon… pas la même musique, certes, mais on retrouve les fondamentaux qui nous ont fait aimer Skinny Pelembe, on retrouve cette voix grave, de baryton moderne, qui traverse des chansons à la fois très pop, mais aussi parfois très froide, dans le sens de la musique britannique des années 80, oui, celle qui se finit en wave, tout autant qu’elle peut aussi se laisser subjuguer par des pointes de psychédélismes, par des guitares qui sonnent afro, et tout un tas d’autres éléments, organiques comme synthétiques, qui ne manquent pas de créer la singularité de la musique de Pelembe.

Et d’ailleurs, à vrai dire, ceux qui sont vraiment subjugués ici ceux sont les auditeurs de Doya Beardmore, car avec ce Hardly the Same Snake, on retrouve tout ce cocktail de sons qui fait l’identité de l’artiste, et on va même plus loin ! Sur ce nouveau disque le son est plus dense, plus riche… les grooves funky, les petites vibes pop du premier album tendent ici à vouloir céder leurs places à une expérience plus intense de la musique, qui vire au voyage spirituel !

Skinny Pelembe – Hardly the Same Snake :

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