Né au Portugal et bercé par les mélodies de la morna, du funaná, du batuque, et autres coladeira, Lura s’est très vite intéressée à la culture de ses parents cap-verdiens. Aujourd’hui la chanteuse s’est même installée à Praia (capitale du Cap-Vert), et, après avoir collaboré, assuré les premières parties, enregistré les chœurs des plus grands de la musique cap-verdienne, et lusophone (Tito Paris, la grande Césaria Évora, ou encore l’Angolais Bonga, pour en nommer quelques un), Lura est maintenant elle-même devenue une des artistes confirmées de cette scène ; laissant la place de valeurs montantes à la nouvelle génération (notamment la talentueuse Elida Almeida).
C’est avec plaisir que l’on retrouve la beauté rayonnante de la belle Cap-Verdienne dans son dernier clip, « Maria di Lida », un premier titre extrait de Herança, son futur album attendu en octobre 2015. De sa voix grave et charismatique, elle y raconte l’histoire d’une femme cap-verdienne luttant contre la précarité, et se sacrifiant pour préserver sa famille du besoin et de la dureté du monde.
Lura – « Maria di Lida » :
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2 Comments
[…] elle est moins connue à l’internationale que ses grandes sœurs Lura, Mayra Andrade, ou Cesaria Évora (bien qu’elle fasse partie du Cesaria Évora Orchestra), […]
[…] magnifique chanteuse — dans tous les sens du terme — cap-verdienne, Lura, fait son grand retour dans nos pages avec une allure folle ! Guidée par l’accordéon […]