Kung Fu et afrobeat font bon ménage dans les Fu Chronicles d’Antibalas

Monument de la scène afrobeat new-yorkaise, et même, osons le dire, de la scène afrobeat tout court, après 20 ans de bons et loyaux services au côté de cette pulsation de vie et de musique fela-esque, il le mérite bien, l’Antibalas Orchestra revient avec un nouvel album aux allures de retours aux sources, Fu Chronicles !

Pour leur vingt ans, l’Antibalas nous rouvre les portes du dojo où tout est né, dans le quartier de Wiliamsburg à New York. Car oui, aussi surprenant que cela puisse paraître l’aventure Antibalas est né dans un dojo — nettement plus originale qu’un garage ou qu’un club miteux ! — celui de son leader Duke Amayo, un Britannique d’origine nigériane qui, ayant grandi entre Lagos et New York, a développé la fâcheuse, ou fameuse, choisissez, habitude de pratiquer son Kung Fu sur les rythmes de Fela Kuti !

Une tendance qui au côté de musiciens de talent, comme le saxophoniste baryton Martín Perna, et une bonne poignée d’autres qui ont, durant ces deux décennies, étoffés le son Antibalas, et fait d’une tendance, la tendance !

Afrobeat incisif qui chevauche une cavalcade de mélodies fiévreuses, une section rythmique digne d’un film de Bruce Lee, et une énergie comme au premier jour, ce Fu Chronicles fait chauffer le cuivre, vibrer les membranes des enceintes, et débarquera sur vos platines début février !

Antibalas – Fu Chronicles :

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