À la base de ce projet, il y avait un chant, un chant d’espoir… ou en tout cas un projet nommé Chant for Hope de l’artiste visuelle belge Miet Warlop. Un genre de sculpture vivante, participative et évolutive faite de mots, de danses et de chants, et qui a été présentée en ouverture du Dhaka Art Summit. Ah… et, oui, il y avait de a musique pour accompagner l’œuvre, une musique orchestrée par un autre belge, un certain Micha Volders. Et après la présentation de ce Chant for Hope, les deux artistes ont eu le désir, accompagné par une poignée d’autres musiciens rencontrés à Dakha, de prolonger l’aventure dans un album justement nommé désir, en tout cas en Bengalais, ICCHĀ.
Une connexion brute entre la Belgique et le Bangladesh, une connexion entre Dakha et Bruxelles qui passe par le biais des mots, bengali, ceux de Chant for Hope, et par de bonnes grosses basses bien heavy ! Les beats et les basses, l’orchestration électronique collent à la sonorité et la musicalité du bengali dans un puissant va et vient qui tient autant de l’ivresse de la soirée techno que de la répétition mystique de mantras.
Pour réaliser cet album conçu et enregistré entre Dakha et Bruxelles, Micha Volders et Miet Warlop ont pu compter sur l’aide de plusieurs artistes bangladais, ainsi vous pouvez entendre sur ICCHĀ la poésie du slammeur Shayer Noor, l’énergie de Muhammad Shanto, ou encore les envolées de Fabiha Tanjim Anchol, Tanny Das Gupta… et bien d’autres !
ICCHĀ ইচ্ছা – « GO যাও » :
Micha Volders et Miet Warlop – ICCHĀ :
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