Direction Israël, pour aller à la rencontre d’un artiste ivoirien qui commence à y faire quelques vagues sonores conséquentes, Elisee Akowendo.
Ce jeune chanteur et batteur ivoirien a, comme beaucoup de ses compatriotes, fait ses premières armes musicales via les bancs de l’église, et de ses chorales gospel, puis a appris à manier les rythmes en tenant la batterie dans son groupe paroissial.
Une aventure religieuse et musicale qui, par le biais d’une tournée organisée par son église, en 2006, l’a conduit en Israël ; un voyage qui s’éternisera, car Elisee Akowendo décidera d’y poser ses bagages, d’abandonner ses études de commerce international et marketing pour poursuivre à plein temps son rêve… devenir musicien professionnel !
Un rêve qu’il commence à toucher aujourd’hui, car après un temps d’adaptation difficile, Elisee a finalement su imprimer sa marque à la scène afro-israélienne. D’abord au côté du groupe d’afrobeat Groove Ambassadors, puis maintenant en solo, avec le soutien du producteur Tamir Muskat, et de son turbulent label Ape Records.
Une nouvelle collaboration fêtée avec « I Dey Shina », un premier titre qui invite l’auditeur à se perdre quelque part entre les beats du producteur israélien, et la voix de l’ivoirien, scandant en baoulé, et en anglais, les échos d’un hip-hop lumineux teinté de dancehall.
Elisee Akowendo – « I Dey Shina » :
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