La Sud-Africaine Julia Church explore la toxicité d’une relation avec Crawl

La chanteuse sud-africaine Julia Church continue sa percée hors des featurings au sommet des charts EDM, notamment avec Kungs, Goldfish, ou encore Mozambo, et avance avec douceur et sensibilité ses singles en forme de pion sur le grand échiquier pop international. Son dernier mouvement ? Le tendre et torturé « Crawl », sur lequel la chanteuse explore les écueils d’une relation amoureuse toxique.

On retrouve sur ce nouveau titre, un tissage d’électronique et de pop, de voix planantes et d’ambiance DIY, et ce petit quelque chose que Julia Church aime incarner, cette capacité à raconter des histoires. Et l’histoire d’aujourd’hui nous plonge dans l’intrigue d’une relation impossible, néfaste, et pourtant, amoureuse ! Un sujet certes déjà exploré à maintes reprises dans la pop — c’est d’ailleurs même l’un des sujets qui est au centre de beaucoup d’œuvres, tous arts confondus ! —, mais il est ici bien exécuté, et Julia Church personnifie à merveille cette dichotomie entre tendresse et souffrance. Et pour dresser une comparaison l’on peut également dire que ce nouveau titre peut rappeler par moment certains travaux de la chanteuse britannique Dido.

Et, si vous avez apprécié ce « Crawl », restez connecté, ici ou sur les réseaux de la chanteuse sud-africaine, car son premier album devrait voir le jour un peu plus tard cette année !

Julia Church – « Crawl » :

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