No Bad Boy, No Party, dans les folles nuits de Bad Boy Timz

La jeune star nigériane Bad Boy Timz, que vous avez peut-être connu après le succès de titres comme « Move, « Big Money » ou « Faya » nous emmène à la découverte de son Lagos by night, sur un premier album qui, très probablement, fera date, No Bad Boy, No Party !

Oui, avec ce premier album, qui n’est pas sans rappeler certaines des premières œuvres d’artistes comme Wizkid, Bad Boy Timz nous plonge dans une folle nuit nigériane, où on lâche tout, on décompresse dans l’ivresse et la fête, où l’on danse comme si la vie s’était suspendue tout autour de la piste de danse. De grosses basses amapiano qui s’entrechoquent, des vapeurs RnB, cet afrobeat doucereux qui glisse et s’infiltre partout, et puis, parfois, au milieu de tous ces jaillissements joyeux et festifs, Timz laisse transparaître quelques effusions d’une autre nature, parfois il se fait tendre et amoureux, comme sur l’irrésistible « Santorini », ou laisse échapper quelques mots sur cette génération du « Lockdown » qui sait que faire la fête, tant qu’on le peut encore, est une forme d’exorcisme du mal-être ambiant.

Donc, oui, No Bad Boy, No Party, sans Bad Boy Timz, pas de fête, et puis… s’il peut y avoir un peu de monde pour entourer le chanteur nigérian s’est encore mieux ! Viennent le rejoindre sur ce premier album, les superstars nigérianes Olamide, Zlatan, et Bnxn, ou encore la chanteuse jamaïcaine Shenseea.

Bad Boy Timz – No Bad Boy, No Party :

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