« Le bonheur se suffit à lui-même et cet état me mit dans l’incapacité d’écrire, de créer, d’imaginer, de concevoir ou d’inventer. Les pages de mon ordinateur demeuraient désespérément vides. Les feuilles vierges me narguaient et les phrases qui surgissaient de mes mains semblaient comme enfermées dans une armure. Je regardais fixement mon écran. On eût dit un trou, un trou terrifiant que je n’arrivais pas à combler tandis qu’à l’extérieur, la vie continuait à faire son cinéma. »
L’homme qui m’offrait le ciel – Calixthe Beyala
2 Comments
et c’est une femme très contreversée ! des amitiès douteuses…
Pas faux