No Sign of Weakness, c’est le genre d’album qui vous attrape au col, vous claque une baffe musicale en 16 titres, et vous rappelle que Burna Boy ne joue pas dans la même ligue que les autres. Il la dirige, la redessine et y invite qui il veut. Travis Scott ? Il est là. Stromae ? Présent. Shaboozey ? Bien assis. Et même… la rockstar parmis les rockstars, Mick Jagger (si vous le connaissez pas, il joue aussi dans un petit groupe qui s’appelle les Rolling Stones) ! ! il parait que c’est Naomi Campbell, une ami commune aux deux artistes qui a joué les entremetteuse pour que la rencontre se fasse !
Ce disque, c’est Burna qui passe en mode rock star, pas celle qui se regarde dans le miroir avec des lunettes de soleil, mais celle qui peut remplir le Stade de France et vous balancer du cœur, de la force et des messages contradictoires dans la même chanson. Oui, derrière les beats, c’est l’introspection en mode XXL de Burna qu’on découvre sur ce disque.
Et forcément, l’introspection d’un African Giant… ça ne montre pas beaucoup de faille, pas beaucoup de signe de faiblesse, pour paraphraser le titre de l’album… oui, No Sign of Weakness… ou presque. Après huit albums, le chanteur nigérian sait où il met les pieds ! Il se promène dans les paysages afro qu’il connait bien, il manie la fusion à merveille, chevauche les log drums de l’amapiano, et il ose, il ose surfer sur un air de funk qui va vous faire baile, il ose un reggae qui vas vous faire tomber amoureux, il ose les aventures vers la country, certe accompagné d’un guide de choix, Shaboozey, il ose glisser vers la trap, il ose le rock avec Mick…
Oui, tout est là pour nous rappeler que Burna Boy est… vous l’appellerez comme vous vous voulez, un animal de scène, un African Giant, une rockstar… et que même ces signes de faiblesse sont une force !
Burna Boy No Sign of Weakness :
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