Racerage, ou le trans-foudroiement de la Black Medusa

Bienvenue dans un monde qui s’est affranchi de toutes les frontières musicales comme sexuelles, celles du genre comme celles des peuples… quant aux frontières des nations… n’en parlons pas ! Mais avant de plonger dans cet univers aux couleurs de l’arc-en-ciel, il faut qu’on revoie un peu avec vous une partie de l’alphabet… juste pour être sur ! LGBT… vous l’avez ? OK ! Et QTIPOC ? Oui… c’est ça ! Queer, transgender, intersex, people of colour. Maintenant, on est prêt à aborder l’univers de Racerage, et son Black Medusa !

Cet(te) artiste qui, vous l’aurez compris, n’a pas vraiment envie d’être déterminé(e) par les autres, propose de prendre les devants et de se raconter, d’endosser le costume de monstre qu’on lui prête, mais aussi, et surtout de foudroyer de son regard… ceux qui s’accrochent encore aux vestiges de la société heteronormée qui nous entoure. Enfin… foudroyer… il ne s’agirait pas pour autant de les transformer en pierre comme la méduse antique, mais plutôt de les trans-foudroyer dans une joyeuse explosion queer, et qui sait, peut-être que pour eux aussi les frontières s’effaceront !

Question musique… c’est une grande orgie de son où le hip-hop vient bouncer sur des bayes reggae, ou l’électronique laisse infuser ses beats dans des bains d’énergie punk colorée, et où le boom vient faire des bap dans une pop… définitivement libre ! En attendant la sortie de l’album Black Medusa de Racerage, on découvre Do The Labour en feat avec l’artiste d’origine maori Jamica Moana.

Racerage – Black Medusa :

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