Far Cry 6, jeux vidéo, révolution latine et bonne musique

Échauffez-vous les doigts, affutez vos cliques et préparez vos meilleurs tricks et vos meilleurs headshot, le géant du jeu vidéo Ubisoft vient de sortir le dernier épisode d’une ses licences phare… ou plutôt Far, en sortant Far Cry 6 ! Comme à chaque fois, le jeu créé l’événement en plongeant le joueur dans un univers immersif et complet, ainsi après nous avoir transporté de vallées enneigées aux confins de l’Asie, aux forêts américaines du Montana, en passant par un bref passage préhistorique, cette fois-ci le 6ème volet de la série renoue avec son amour des iles et nous fait découvrir la petite ile caribéenne de Yara, bousculée par un conflit entre une famille régnante autoritaire et une rébellion qui aspire à plus de liberté, une ile imaginaire, certes, mais qui résonne d’une vibration musicale, elle, bien concrète !

Effectivement, nous ne sommes pas là pour parler uniquement jeu vidéo, mais aussi un peu de musique, et ça tombe bien puisque la B.O du jeu ne manque pas d’intérêt ! Voyant le jour sous la forme d’un album intitulé sobrement Far Cry 6 : The Music of Yara, cette B.O fait bien évidemment la part belle aux entêtants rythmes latins, aux mélodies empruntées ci et là, au Venezuela, à la Colombie, ou encore à Cuba, et aux hymnes révolutionnaires !

Et si on se fait facilement happer par le rap furieux de la Vénézuelienne Gabylonia et ses « Camino Revolucionario » et « Carta al Tirano », autant que par les version très latin jazz de « Bella Ciao » et « Mambo Italiano », transformé ici en « Mambo Yarano », de La Sonora Yarana, la vraie star du disque, tant IRL comme on dit dans le milieu du gaming, que dans le jeu lui-même, c’est « Sueños de Libertad » de Porfi Baloa. Petit air de révolution qui est devenu la chanson favorite des équipes musique de Ubisoft, autant que celle du héros du jeu !

Far Cry 6 : The Music of Yara :

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