Toya Delazy, le talent brut de la plus british des sud-africaines

Si, pour Rihanna ou la célèbre Lucy des Beatles, les diamants ont tendance à briller dans le ciel, que pour le duo de rock électronique Suicide ils s’accompagnent de manteaux de fourrure et de champagne, il n’en reste pas moins que pour la talentueuse chanteuse sud-africaine Toya Delazy ils sont bruts (à l’instar de Johnny Cash d’ailleurs). C’est en tout cas la traduction du titre d’une de ces dernières chansons, « Diamonds In The Rough » !

Ce single ainsi que, « No Follow » et « Kekeke » sont les trois premiers avant gouts du troisième album de Toya Delazy, qui devrait paraitre cette année. On y retrouve ce savoir-faire musical subtil, qui fait osciller la voix, tantôt chantée, tantôt rappée, de la Sud-Africaine, entre jazz, electro et hip-hop ; un genre que la chanteuse s’amuse elle même à appeler JEHP.

« Diamonds in the Rough » avec son ambiance nu soul racée, où l’on croit deviner par moment un léger accent anglais — il faut dire que Toya Delazy s’est installé depuis quelques années dans les quartiers est de Londres — « Kekeke » et sa house très aérienne et éthérée, et le plus sombre, et néanmoins très bon « No Follow », sont trois bonnes mises en bouche de ce futur album que l’on attend déjà impatiemment.

 

Toya Delazy – « Diamonds in The Rough » :

 

Toya Delazy – « No Follow » :

 

Toya Delazy – « Kekeke » :

 

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