Entre ténèbres électroniques et RnB expérimental, découvrez h.p.a.c de Tony Njoku

Voici un disque bien singulier qui débarque sur nos platines. Il s’agit de h.p.a.c, le dernier album de l’artiste nigérian installé à Londres, Tony Njoku. Et derrière les 4 lettres qui forment l’acronyme de son dernier album se cache tout un monde. Dès les premières minutes d’écoute on est saisi par tout un bouillonnement d’électroniques savamment calibré qui montent en crescendo, par un tourbillon de percussions qui rappellent à son Lagos natal, par des trombes de synthés tourmentés qui s’arcboutent le long des beats, et une voix… une voix particulière qui vient, fébrile, survoler ce maelstrom sonique !

C’est bizarre, et plutôt beau en même temps, la tempête sonore va-et-vient au grès des synthés, découvrant même parfois de sombres embellies comme le titre « Through This Darkness », qui tel l’œil du cyclone vient marquer le centre de cet opus, le second de l’artiste, qui se décline en 12 titres. Mais il est difficile de parler de ce disque, ou de pouvoir le comparer à d’autres, car Tony Njoku, à l’instar d’artistes comme la chanteuse islandaise Björk, crée tout un univers qui lui est propre, et qui peut vous happer et vous transporter dans d’autre sphère… comme vous pouvez également rester complètement imperméable à son émotion. C’est un quitte ou double qui en vaut la peine !

 

Tony Njoku – h.p.a.c :

 

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