Ego Ella May clôture ses Fieldnotes sur une jolie Pt. III

C’est un projet commencé dans le confort violent et confiné du Covid auquel la chanteuse britannique d’origine nigériane Ego Ella May met un terme aujourd’hui avec la sortie de ce Fieldnotes pt. III. Oui, ce carnet de bord, ou plutôt ce carnet de notes scientifiques et musicales sur une époque trouble, qui s’est rapidement étendue à la sortie du confinement en une sorte de manuel d’Epictète aux couleurs de cette soul britannique qui sait glisser sur des claviers et des falsettos dévoile aujourd’hui son dernier pan.

Sur les quelque quatre chansons qui constituent ce volet final des Fieldnotes d’Ego Ella May on se laisse glisser dans l’univers chaud et intime, sensible aussi, et surtout très soul, de la chanteuse britannique, tandis qu’elle égraine ses mots avec douceurs, on se surprend à penser à soi, à notre propre rythme… Faut dire qu’il est question ici d’amour, il est question ici de revenir à soi même, d’écouter sa voix intérieure, et pour reprendre les mots de la chanteuse elle-même, il parait que l’on peut entendre Dieu dans les murmures.

Sur ce dernier point… on ne peut pas vous garantir que vous l’entendrez… Dieu, que ce soit dans des murmures, ou ailleurs, mais ce que l’on peut vous garantir c’est qu’à travers le souffle et les murmures des prods de Sam Posener, LVTHER, Dougie Stu et Wu-Lu (les producteurs, dans l’ordre, des quatre chansons de ce dernier cahier de notes), vous l’entendrez… elle, Ego Ella May !

Ego Ella May – Fieldnotes pt. III :

Si vous avez apprécié le contenu de cet article sur « Fieldnotes pt. III » le dernier EP de la chanteuse britannique nigériane Ego Ella May, n’hésitez pas à visiter notre page Facebook et a y réagir, et pourquoi pas même nous encourager d’une petite mention « j’aime ».

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.