Andrea Benini, l’artiste italien qui aimait l’Afrique et la batterie

À la fois journaliste, musicologue, batteur et musicien accompli, DJ, compositeur, membre fondateur du célèbre groupe d’afrojazz/funk/fusion Mop Mop, le moins que l’on puisse dire c’est que l’artiste italien Andrea Benini est un personnage à part entière, au parcours riche. Et quand ce genre d’individu décide d’opérer un nouveau projet solo tourné vers les rythmes de l’Afrique et des Caraïbes… on ne peut que tendre une oreille !

Ce nouveau projet, qu’Andrea Benini signe de son nom, prend la forme d’un album au nom sans équivoque, Drumphilia Vol. 1, et sous-titré « a journey inspired by early African electronic music and modern beats ». Si la sortie du disque est prévue pour le 22 juin 2018, sur le label Agogo Records (bon à vrai dire c’est chez Cristalline, une sous division de ce label), on peut dès à présent en découvrir un premier extrait avec le titre « El Guerrero ».

Le son est électronique et linéaire, mais garde un caractère tout à fait organique malgré la quasi-absence d’instrument mélodique. Il faut dire que, pour ce disque, Andrea Benini est allé emprunter des samples et enregistrer des instruments essentiellement percussifs, en même temps on ne pouvait pas en attendre moins d’un batteur de formation, en provenance d’Afrique et des Caraïbes, tels des marimbula, ou autres lamellophones.

 

Andrea Benini – « El Guerrero » :

 

Si vous avez apprécié le contenu de cet article sur « Drumphilia Vol. 1 » le dernier album de l’artiste italien Andrea Benini, n’hésitez pas à visiter notre page facebook et a y réagir, et pourquoi pas même nous encourager d’une petite mention « j’aime ».

 

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.